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Kanye West : après Instagram et Twitter, une autre mauvaise nouvelle s’abat sur l’américain  

Kanye West : après Instagram et Twitter, une autre mauvaise nouvelle s’abat sur l’américain  

La descente aux enfers se poursuit pour Kanye West, l’ex de Kim Kardashian après ses propos antisémites. Après sa suspension des réseaux Instagram et Twitter, le rappeur est lâché par sa banque.

En effet, JP Morgan Chase, un des plus grands établissements bancaires du monde, y indique de manière laconique qu’elle rompt unilatéralement ses relations d’affaires avec Kanye West, sa société Yeezy et toutes autres entités qui y sont affiliées.

L’information a été publié sur Twitter par l’activiste conservatrice Candace Owens, avec qui il avait posé avec un tee-shirt « White Lives Matter ».

D’après le post, la banque n’a donné aucune justification. La seule précision, Kanye West a jusqu’au 21 novembre 2022 pour transférer tous ses comptes auprès d’un autre organisme bancaire.

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« Si vous critiquez quelqu’un parce qu’il est mauvais en affaires, ça veut dire que vous êtes antisémite. Je suis heureux d’avoir dépassé la ligne rouge. On peut maintenant parler ouvertement de choses telles que d’être banni de sa banque », a-t-il dénoncé auprès des photographes de Page Six. Il a également affirmé qu’il était « l’homme noir le plus riche de l’histoire de l’Amérique » et qu’il s’épancherait sur son éviction de JP Morgan Chase « à un autre moment ».

Soulignons que l’artiste a également des soucis avec Adidas. Il y’a quelques semaines, Adidas avait communiqué que le partenariat qui liait la marque à la star était « en cours d’examen ».

États-Unis : 3 trois policiers filmés en train de tabasser un individu

États-Unis : 3 trois policiers filmés en train de tabasser un individu

Les autorités américaines ont annoncé la suspension de trois policiers ce dimanche soir, après que des images d’eux ont été diffusées en ligne. La vidéo montre le moment où les trois corps habillés frappent violemment un homme durant une arrestation dans l’Arkansas.

C’est le nouveau cas de violence policière qui fait chou gras aux États-Unis, pays encore marqué par la mort de George Floyd en 2020. Selon les informations, l’arrestation s’est produite devant un magasin d’alimentation générale. La victime, Randall Worcester, âgé de 27 ans, est visé par plusieurs chefs d’accusation. Il est accusé d’avoir menacé un employé d’une station-service.

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D’après la vidéo mise en ligne, on peut voir l’homme blanc maintenu à terre par les policiers, lui assénant des coups-de-poing violents sur la tête et des coups de genou tout en frappant son visage contre le sol bétonné.

En attendant les résultats de l’enquête annoncée par le maire de la ville, l’un des policiers a été placé en « congé administratif ». Quant aux deux autres agents, ils ont été suspendus par le shérif du Comté pour lequel ils travaillent.

Dans la foulée, le procureur de l’État, Asa Hutchinson, a déclaré à travers un tweet, avoir parlé avec le chef de la police de l’État, assurant que les faits feront l’objet d’une enquête conformément aux preuves vidéo.

États-Unis : « Je reviendrai », les derniers mots de Trump avant de quitter la maison blanche

États-Unis : « Je reviendrai », lance Trump avant de quitter la maison blanche

Ce matin, Donald Trump et sa femme ont dit au revoir à la maison blanche. Ils ont quitté la résidence présidentielle à quelques heures de l’investiture de Joe Biden, son successeur qu’il n’aime pas rencontrer ni prononcer le nom.

N’arrêtant pas d’étonner le monde, Donald Trump, à quelques heures de la fin de son mandat, vient de lâcher une bombe qui fait encore jaser. En effet, Alors qu’il quittait la maison blanche il a déclaré qu’il reviendra.

Depuis la base militaire d’Andrews, il a souhaité « bonne chance » à la nouvelle administration, avant d’ajouter une phrase pétoche : « Je reviendrai d’une manière ou d’une autre », entretenant ainsi le flou sur ses projets.

Difficile de quitter la maison blanche

L’ancien locataire de la maison blanche s’est ensuite envolé à bord d’Air Force One pour la Floride. Là, il entamera dans son club de Mar-a-Lago, à 74 ans, sa vie d’ex-président.

Trump est le premier président sortant qui n’assistera pas à la prestation de serment de son successeur depuis Andrew Johnson en 1869. Joe Biden de son côté, poursuit les festivités de son investiture. Il prêtera serment à 18h après celui de sa vice-présidente Kamala Harris.

La circulation a été interdite dans le centre de la capitale américaine, et une barrière de 2m50 couverte de barbelés et renforcée par des blocs de béton a été érigée tout autour du Capitole. L’Amérique connaîtra une nouvelle ère.

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Etats – Unis / Investiture de Joe Biden : voici le programme des événements de la journée

Joe Biden va devenir officiellement le 46e président des Etats – Unis après Donald Trump ce mercredi à 12 h (heure locale), 18 h (heure de Paris). Découvrez de bout en bout le programme de la journée.

Ce mardi 19 janvier 2021, Donald Trump a fait ses adieux aux Américains, mais il ne sera pas présent à la cérémonie d’investiture de son successeur, une première fois dans l’histoire.

Néanmoins, ceci n’empêche pas Joe Biden de prendre les rênes de l’Amérique. Après avoir passé la nuit de mardi dans un hôtel en face de la maison blanche, il assistera à une messe à la cathédrale Saint-Mathieu l’Apôtre, saint patron des fonctionnaires, pour débuter les festivités.

Ensuite, il se rendra en convoi vers le Capitole où la cérémonie d’investiture aura lieu avec pleins d’événements. En ce qui concerne sa sécurité, 25.000 soldats de la garde nationale ont été mobilisés.

La circulation a été interdite dans le centre de la capitale américaine, et une barrière de 2m50 couverte de barbelés et renforcée par des blocs de béton a été érigée tout autour du Capitole.

Voici le programme de la journée :

17 h 30 : début de la cérémonie, Lady Gaga chante l’hymne américain. Jennifer Lopez et le chanteur country Garth Brooks sont également annoncés.

17 h 30 – 18 h 00 : Kamala Harris prête serment face à la juge de la Cour suprême Sonia Sotomayor

18 h 00 : « I do solemnly swear… » Joe Biden prête serment face au patron de la Cour suprême John Roberts.

18 h 00 – 18 h 30 : Discours d’investiture de Joe Biden, qui devrait durer entre 20 et 30 minutes et être centré sur l’unité, dans une Amérique meurtrie par l’attaque contre le Capitole, les violences racistes et les divisions politiques.

20 h 00 : Cérémonie au cimetière d’Arlington sur la tombe des soldats inconnus. Joe et Jill Biden seront là, mais également Barack et Michelle Obama, George et Laura Bush, Bill et Hillary Clinton. Sans Donald et Melania Trump, donc.

21 h 00 : Escorte militaire pour accompagner Joe Biden jusqu’à la Maison Blanche.

21 h 15 : Parade virtuelle dans les 56 Etats et territoires américains

23 h 15 : Signature des premiers décrets, normalement pour rejoindre l’accord de Paris sur le climat et mettre fin au travel-ban de l’administration Trump visant de nombreux pays musulmans.

2 h 30 (jeudi) : Prime time de 90 minutes présenté par Tom Hanks célébrant la diversité de l’Amérique, en présence de Joe et Jill Biden, et de Kamala Harris et Doug Emhoff.

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USA / violence à Washington : voici la liste ꞌꞌcomplèteꞌꞌ des réseaux sociaux qui ont suspendu le compte de Donald Trump

Etats – Unis / violence à Washington : voici la liste ꞌꞌcomplèteꞌꞌ des réseaux sociaux qui ont suspendu le compte de Donald Trump

Suite aux violences qui ont eu lieu au Capitol à Washington, de nombreux réseaux sociaux et autres plateformes ont pris la décision de suspendre le compte de Donald Trump.

Suite à l’appel de Donald Trump sur les réseaux sociaux à rejoindre Washington pour contester l’élection présidentielle et la victoire de Joe Biden, de nombreux partisans du président sortant sont venus manifester par des actes violents, allant jusqu’à envahir le Capitole. Suite à cette violence sans précédent, Facebook et Twitter ont été parmi les premiers à bloquer le compte de Donald Trump, et d’autres plateformes ont suivi le pas.

Le 7 janvier, Facebook a annoncé dans un tweet le blocage du compte de Donald Trump pendant 24 heures, expliquant que cela signifiait que le président sortant des États-Unis n’aurait plus la possibilité de poster des informations via son compte. Puis le même jour, Mark Zuckerberg s’est exprimé dans un post Facebook, en indiquant que finalement le compte de Donald Trump serait bloqué pendant au moins 13 jours, voire plus. Cela implique son compte Facebook, mais aussi son compte Instagram (le réseau faisant partie du groupe Facebook).

Le 7 janvier également, Twitter annonce bannir le compte officiel de Donald Trump pendant au moins 12 heures pour violation de son règlement concernant la politique d’intégrité civique, pour empêcher toute personne « de manipuler ou d’interférer dans des élections ou d’autres processus civiques ». Puis le 9 janvier, Twitter a finalement annoncé suspendre définitivement le compte, en raison du risque de nouvelle incitation à la violence.

Après Facebook et Twitter, au tour de Snapchat de bloquer le compte du président sortant. La décision a été prise le mercredi 6 janvier. Selon TechCrunch, Snapchat surveille la situation de très près avant d’envisager la possibilité de réactiver le compte. Aucun délai de blocage n’a été indiqué officiellement par le réseau social. En juin, Snapchat avait déjà pris des mesures sur ce sujet, en cessant de promouvoir le compte de Donald Trump dans sa section « Discover ».

Les plateformes suivantes ont également suivi le pas pour lutter contre l’incitation à la violence et les fake news autour de l’élection présidentielle américaine :

Twitch : désactivation du compte utilisé par Donald Trump ; Discord : bannissement du serveur « The Donald » connecté au réseau social des partisans de Trump TheDonald ; Win, Shopify : fermeture de la boutique en ligne « TrumpStore » ; Stripe : suspension des traitements pour les paiements de la campagne Trump ; Reddit : blocage d’un forum dédié à Donald Trump.

De son côté, TikTok n’a pas de compte à bannir puisque Donald Trump boycotte depuis des mois l’application chinoise, souhaitant même son bannissement total sur le sol américain. TikTok a malgré tout pris des mesures, en supprimant toutes vidéos au nom du président Trump qui pourraient inciter à la violence. Les vidéos avec les mots-clés #patriotparty et #stormthecapital ont été notamment supprimées.

Donald Trump n’a pas de compte Pinterest, mais la plateforme a malgré tout limité la diffusion des hashtags reliés directement aux sujets pro-Trump comme #StopTheSteal qui insinuaient que les résultats de l’élection présidentielle américaine étaient truqués.

YouTube, appartenant à Google, a annoncé également sa lutte contre la désinformation, en expliquant que toute chaîne publiant des vidéos avec des fausses allégations concernant les élections américaines, violant les règles d’utilisation de la plateforme, recevrait un avertissement. Ces chaînes ne pourront plus poster temporairement ou réaliser des live streaming. Si des chaînes reçoivent 3 avertissements sur une période de 90 jours, elles pourraient être supprimées définitivement de la plateforme.

Autre actualité : Google et Apple ont pris la décision de bannir « Parler de leurs stores », ce réseau social prônant la liberté d’expression, similaire à Twitter, mais avec un manque de modération, qui incite les partisans Trump à y poster des contenus extrémistes ou complotistes. C’est pourquoi Google a décidé de supprimer l’application de son Play Store, suivi par Apple qui a fait de même sur l’App Store.

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Les anciens présidents des États-Unis ont tous condamné le rôle de Donald Trump dans l’épisode des violences au Capitole à Washington. Qualifiées de « Honteuses », « choquantes », « préoccupantes », les violences au soir du mercredi à Washington, avec l’irruption de manifestants pro-Trump au Capitole, ont été condamnées par la plupart des dirigeants mondiaux. Dénonçant une « attaque contre la démocratie », ceux-ci ont par ailleurs appelé au respect du résultat de l’élection présidentielle américaine du 03 novembre 2020.

Les ex-présidents américains dans leur totalité, de Jimmy Carter à Barack Obama, ont fermement condamné les événements, qualifiés de « honte », de « tragédie », tout en dénonçant l’attitude de Donald Trump, accusé d’avoir « allumé la mèche » insurrectionnelle. 

« L’Histoire se souviendra des violences aujourd’hui au Capitole, encouragées par un président qui a menti sans relâche sur l’issue d’une élection, comme d’un moment de déshonneur et de honte pour notre pays », a jugé Barack Obama dans un communiqué. « Mais on ne regarderait pas la vérité en face si on considérait cet événement comme une surprise totale », a-t-il ajouté, dénonçant le « crescendo violent » des derniers mois, alimenté par le refus des républicains de « dire la vérité ».

L’ancien président Bill Clinton a aussi dénoncé une « attaque sans précédent » contre les institutions américaines, « nourrie par plus de quatre années de politique empoisonnée ». « La mèche a été allumée par Donald Trump », a accusé l’ancien chef d’État démocrate.

« C’est une tragédie nationale et cela ne représente pas ce que nous sommes en tant que nation », a abondé l’ancien président démocrate Jimmy Carter, qui a appelé de ses vœux « un dénouement pacifique ».

Pour le républicain George W. Bush, l’irruption de partisans pro-Trump au Capitole et l’interruption de la séance de certification de la victoire de Joe Biden à la présidentielle pendant plusieurs heures étaient dignes d’une « république bananière ». « Je suis consterné par le comportement irresponsable de certains dirigeants politiques depuis l’élection et par le manque de respect montré aujourd’hui à l’égard de nos institutions, de nos traditions et de nos forces de l’ordre », a souligné le 43e président des États-Unis.

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