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Ne cliquez pas sur ces faux liens de recrutement imitant la CENI

Alerte Arnaque : Ne cliquez pas sur ces faux liens de recrutement imitant la CENI

Depuis quelques jours, des sites web frauduleux imitent la CENI, dirigeant les utilisateurs vers des plateformes malveillantes. Ces liens suspects, identifiés par le Centre National de Réponse aux Incidents de Cybersécurité au Togo, annoncent de prétendus recrutements de personnel en prévision des prochaines échéances électorales.

Suite à des enquêtes approfondies, le Cert.tg confirme que ces liens sont liés à des opérations de phishing, avec deux domaines principaux identifiés : CENI-tg.org (IP 104.21.43.48) et applyforms.me (avec une IP changeante).

Voici les liens malveillants à éviter :

  • https://ceni-tg.applyforms.me/?m=1#1701160823571
  • https://ceni.tg.applyforms.me/?m=1#1701163078414
  • https://www.ceni-tg.org/ (Attention, ne pas cliquer)

La CENI n’a lancé AUCUN RECRUTEMENT

Bien que ces sites ne reproduisent pas fidèlement le site officiel, ils représentent une tentative d’usurpation de l’identité du site web de la CENI, d’autant plus que l’institution n’entreprend actuellement aucun processus de recrutement.

 

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L’objectif de cette usurpation est de duper les utilisateurs et de gagner leur confiance pour des fraudes plus complexes telles que la collecte d’informations par phishing ou le partage de logiciels malveillants. Soyez vigilants et évitez tout accès à ces liens douteux.

Agbalepedo : un incendie emporte des jumeaux de 6 mois, leur mère plongée dans le coma

Agbalepedo : un incendie emporte des jumeaux de 6 mois, leur mère plongée dans le coma

Un événement tragique est survenu à Lomé, à proximité du marché d’Agbalépedo, ce mercredi 29 novembre.

D’après nos sources, une femme aurait enfermé ses jumeaux, âgés de seulement six mois, dans la chambre sans prévenir son entourage. Quelques minutes après son départ, un incendie s’est déclaré, et malheureusement, les jumeaux ont été victimes des flammes avant l’arrivée tardive des secours.

Les circonstances exactes de l’incendie demeurent floues jusqu’à présent, et la mère se trouve actuellement dans le coma. Toutefois, des spéculations sur une possible origine criminelle émergent dans le voisinage. Une enquête en cours permettra de faire toute la lumière sur cette tragédie.

Lire aussi : Infidélité et violence à Sotouboua : un enseignant du public au cœur d’un scandale

un enseignant du public au cœur d'un scandale

Infidélité et violence à Sotouboua : un enseignant du public au cœur d’un scandale

Un scandale mettant en scène un enseignant, un paysan, et les conséquences d’une liaison adultérine, secoue le canton d’Aouda, dans la préfecture de Sotouboua. 

Un enseignant en poste au lycée d’Aouda soupçonné d’entretenir des relations sexuelles régulières avec la femme d’un paysan, s’est adonné à des actes de violences sur le cocufié. L’histoire débute par les soupçons grandissants d’un mari désabusé qui suspecte sa femme d’entretenir une relation extraconjugale. 

Ses soupçons sont confirmés après qu’il est fouillé dans le téléphone de son épouse, rapporte TogoScoop. Les preuves, sous forme d’audios, attestent d’une liaison entre la femme et l’enseignant. La femme à la suite de cette découverte quitte le domicile conjugal, laissant le paysan bouleversé. 

 

Ce dernier décide alors de confronter l’homme en convoquant une réunion avec le chef coutumier. Le fonctionnaire, visiblement arrogant, refuse de se présenter, arguant qu’il ne répond pas aux convocations de personnes sans numéro matricule.

Cocufié battu par l’enseignant, pauvre paysan

Frustré, le paysan prend l’initiative de se rendre au lycée pour exposer la situation à l’administration. C’est à ce moment-là que la situation dégénère. En plein cours, le monsieur, prof d’anglais, découvre la présence du mari trompé dans la salle d’attente et décide de s’en prendre violemment au paysan, le frappant impitoyablement.

L’intervention rapide de ses collègues enseignants empêche une escalade de violence, mais l’enseignant adultérin est néanmoins arrêté par la police. Actuellement en garde à vue, le mis en cause doit répondre de ses actes.

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L’affaire suscite l’indignation dans le village, et de nombreux villageois estiment que l’enseignant ne devrait plus occuper son poste. Les autorités éducatives locales ont ouvert une enquête, auditionnant le fonctionnaire en vue de produire un rapport pour la Direction régionale de l’enseignement (DRE).

18e Foire Internationale de Lomé prolongée jusqu'au 10 décembre

CETEF : 05 choses utiles à faire sur le site de la foire

La 18ᵉ édition de la foire de toutes les opportunités bat son plein au CETEF de Lomé jusqu’au 03 décembre, avec des expositions, des concerts mémorables et quelques polémiques en toile de fond. Contrairement à ce que font la majorité des visiteurs, la FIL ce n’est pas que venir visiter les stands pour ensuite aller boire et manger. C’est une manifestation offre bien plus que des divertissements festifs.

On partage avec vous dans ce billet, cinq actions essentielles à entreprendre sur le site.

1. Visiter Togo Mall sur le site de la foire

Cette année, Togo Mall, le premier supermarché dédié aux produits locaux, a ouvert ses portes sur le site de la foire. Explorez cet espace offrant une variété de produits provenant de divers secteurs. Profitez-en pour acquérir des articles, notamment les t-shirts 100 % made in Togo, soutenant ainsi la production locale. Une excellente nouvelle : Togo Mall restera ouvert même après la foire.

2. Réseauter avec les exposants et élargir son carnet d’adresses

La foire est bien plus qu’un lieu de divertissement ; elle offre des opportunités de développement commercial. Profitez des quelque 1000 exposants présents pour établir des contacts professionnels. Discutez de leurs produits ou services, posez des questions pertinentes et échangez vos coordonnées pour d’éventuelles collaborations futures.

Au-delà de ça, il faut noter que tout Lomé se retrouve sur le site surtout les week-ends. Si vous êtes célibataire, à défaut de nouer un nouveau partenariat, vous trouverez probablement un léger pain à griller (vous avez compris).

3. Faire un don de sang

Face à la croissance quotidienne des besoins en transfusion sanguine au Togo, le CNTS est présent sur le site de la foire pour collecter des dons de sang et sauver des vies. Chaque goutte compte, alors n’hésitez pas à visiter leur stand dans le pavillon OTI et contribuer à cette noble cause.

4. Sonder les prix actuels des produits

Alors que la fin de l’année approche, profitez de l’occasion pour vérifier les prix des produits que vous souhaitez acquérir et effectuer vos achats. Cela vous permettra d’éviter le stress lié aux préparatifs des fêtes de fin d’année.

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5. Immortaliser les moments particuliers

Capturez en photos les produits que vous achetez, partagez-les autour de vous pour inciter votre entourage à visiter le site. Filmez les moments marquants de votre visite, peut-être même en compagnie de personnalités publiques. Partagez votre expérience sur les RS pour établir des connexions avec d’autres participants, obtenir des informations en temps réel sur l’événement et attirer l’attention des exposants et des partenaires potentiels.

Viande de Porc : qu'est-ce qui explique la prolifération des points de vente à Lomé ?

Viande de Porc : qu’est-ce qui explique la prolifération des points de vente à Lomé ?

Lorsque vous parcourez une petite distance à Lomé, impossible de ne pas passer devant un point de vente de viande de porc. Des quartiers comme Lomegan, Agbalepedo, Totsi Avedji et Agoè en sont les champions même si bien souvent, la qualité n’y est pas forcément.

La consommation de viande de porc est entourée de préjugés et d’interdits religieux. Pourtant, elle reste la viande la plus appréciée au monde. D’ailleurs, dans certaines cultures africaines, manger du cochon est synonyme de faiblesse spirituelle. Alors, pourquoi cette floraison de points de vente dans la capitale togolaise ? Ce mini-dossier explore les raisons derrière cette prolifération.

Viande de porc : économie et plaisir culinaire

Quel que soit ce que vous pensez, la viande de porc est succulente et ce n’est pas une affirmation gratuite. Si elle domine les assiettes, c’est parce qu’elle est appréciée. La loi de Say stipule que c’est l’offre qui crée sa propre demande, mais dans notre cas ci, il se pourrait que cela soit l’inverse : le togolais aime la viande de porc et il faut dire le que business rapporte énormément.

Son coût abordable la rend accessible à tous les budgets, attirant ainsi les amateurs. Des témoignages révèlent que même dans des quartiers moins fréquentés, ces stands génèrent des bénéfices notables. « Je ne suis pas bien situé, mais malgré cela, je fais quand même un peu de chiffres d’affaires à chaque fois que je sors et surtout les weekends« , dixit Akossiwa situé dans un coin calme de Kégué.

L’équation prix/volume de la viande de porc semble plus avantageuse que d’autres viandes concurrentes. Avec 1000 F CFA, les amateurs peuvent s’offrir un festin de quoi donner de la joie à vos papilles gustatives. Ce qui n’est pas toujours le cas avec d’autres variétés un peu plus cher. Cette attractivité économique contribue à l’essor des points de vente.

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Malgré sa popularité, la viande de porc reste parfois consommée en secret, principalement en raison de tabous culturels et religieux. Ainsi, certains préfèrent en consommer en cachette, loin des regards et des jugements des autres.

Dans certaines confessions religieuses, il est bien interdit de consommer du porc. Cependant, force est de constater une légère baisse de vente pendant les périodes de carême. On vous laisse faire vos propres conclusions.

La préférée des Témoins de Jéhovah ? 

Curieusement, la viande de porc est souvent plébiscitée par certains groupes, comme les Témoins de Jéhovah. Selon deux adeptes que nous avons interrogés, la viande de porc est la viande par excellence qu’on retrouve lors de leurs retrouvailles et/ou fêtes. 

Nos sources précisent que ce choix n’est basé sur aucune recommandation, il repose sur des préférences personnelles et une accessibilité économique. D’autant plus qu’il n’y a aucune restriction à propos chez eux. Les fournisseurs adaptent leur offre en conséquence.

Vers une expansion inévitable

Avec la croissance de la ville et de sa population, la multiplication des points de vente semble inévitable. Pour plusieurs raisons de santé, il est déconseillé d’en consommer. Néanmoins, la viande de porc demeure une option prisée pour sa valeur nutritionnelle.

Dans une ville où elle ne bénéficie pas toujours d’une bonne presse, la viande de porc s’impose comme l’une des plus consommées. Intriguant n’est-ce pas ? 

Inscription à l'UL : cette décision du Prof Kpodar qui contrarie les étudiants

Inscription à l’UL : cette décision du Prof Kpodar contrarie les étudiants

Le Directeur des Affaires Académiques et de la Scolarité à l’Université (DAAS) de Lomé, après validation auprès du Prof Kpodar, président de l’UL, a rendu publique une décision qui suscite des réactions au sein de la communauté estudiantine. 

Dans un communiqué émis le 21 novembre, il annonce une réouverture exceptionnelle de la plateforme des inscriptions pour une période dérogatoire. Une bonne nouvelle qui toute fois est accompagnée d’un nuage d’avertissement. 

Nouvelle chance d’inscription, mais attention aux pénalités !

La mesure concerne principalement les nouveaux bacheliers et les étudiants qui n’ont pas pu finaliser leur processus d’inscription avant la date de clôture initiale. Le site sera ainsi accessible du 27 novembre au 09 décembre 2023, offrant une opportunité supplémentaire à ceux en retard.

Cependant, le communiqué met en garde contre les conséquences du dépassement de ce nouveau délai. Passé le 9 décembre, les retardataires devront s’acquitter d’une pénalité de retard ; une décision déplaisante, surtout pour les étudiants qui attendent les tranches avant de s’inscrire.

Les concernés se voient contraints de se dépêcher afin d’éviter ces sanctions financières qui viendraient s’ajouter aux frais d’inscription réguliers. 

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La pression est désormais double : garantir sa place à l’université et éviter des dépenses supplémentaires liées à des retards indépendants de leur volonté.

Rentrée universitaire 2024-2025 : Campus France Togo, seule porte d’entrée en France

Rentrée universitaire 2024-2025 : Campus France Togo, seule porte d’entrée en France

Pour la rentrée universitaire 2024-2025 en France, Campus France Togo a lancé les hostilités. Ceci à travers une nouvelle campagne de candidature qui a démarré le 1er octobre pour prendre fin le 15 décembre 2023.

La procédure d’inscription à Campus France Togo est destinée aux étudiants de nationalité togolaise ou étrangère non ressortissant de l’Espace Schengen. Ces derniers doivent résider sur le territoire togolais et avoir pour ambition de se rendre en France pour poursuivre leurs études supérieures ou bien pour se présenter à un concours, un entretien de sélection pour intégrer une formation ou pour effectuer un séjour de recherche dans le cadre de leur cursus de formation au Togo.

Au cours de cette nouvelle campagne, Campus France Togo fait des précisions importantes. Pour s’inscrire, les candidats n’ont pas besoin de confier la gestion de leur dossier à des cabinets ou agences. Car aucun n’est, à cet effet, agréé. Toute la procédure est bien indiquée sur le site de Campus France Togo. Le recours à un intermédiaire contre rémunération pour élaborer un dossier Campus France n’est aucunement gage d’obtention d’une pré-inscription, ni d’un visa pour études. Par conséquent, ce serait se faire arnaquer.

Aussi, est-il important de savoir que les phases d’information, d’orientation, de validation des formulaires en ligne des étudiants sont des prestations gratuites. Cependant, pour toute la démarche, les frais de traitement de dossiers s’élèvent à 65 000 FCFA. Et les étudiants doivent s’acquitter de ces frais auprès d’Orabank. Une fois le paiement validé, l’étudiant peut alors prendre rendez-vous pour l’entretien. De plus, ces frais de dossier sont payables dès que le demandeur soumet son dossier et ne sont pas remboursables.

Pour éviter aux étudiants ces déconvenues ou situations embarrassantes, Campus France Togo réitère son alerte contre ces agences et cabinets de voyage qui se disent travailler en collaboration avec lui. En effet, Campus France Togo reste le seul interlocuteur officiel pour les demandes et les modalités de préinscriptions en France auprès des établissements d’enseignement supérieur.

Dans cette optique, Campus France Togo lance donc un appel à la vigilance contre ces démarchages abusifs et recommande aux populations togolaises, la plus grande prudence face à ce type de sollicitation. En vue de faciliter les inscriptions aux candidats pour la rentrée universitaire 2024-2025, l’institution actionne sa campagne de proximité.

Celle-ci passe surtout par la création de deux groupes WhatsApp (Campus France Togo – Officiel & Campus France Togo – Officiel (II)) où sont centralisées les informations relatives à la démarche « études en France ». De quoi être plus proche des potentiels candidats ou aspirant à passer par le biais de ce canal pour leurs études en France.

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Il faut rappeler que les candidats peuvent aussi participer à des ateliers sur la rédaction de CV et de lettre motivation percutante en vue d’améliorer leur chance de sélection. Quant aux sessions d’information, elles ont débuté le 07 octobre dernier et prendront fin le 02 décembre prochain.

Régions des Savanes : cette vidéo d'une femme accouchant par terre, écœure

Régions des Savanes : cette vidéo d’une femme accouchant dans la rue, écœure

Dans le silence le plus assourdissant, une situation dramatique émerge dans la région des Savanes, au nord du Togo. Le village de Fobenga, au sein de la préfecture du Kpendjal-Ouest, est le théâtre d’une crise sanitaire alarmante, notamment pour les femmes qui accouchent dans des conditions précaires, dénuées de structures médicales.

L’alerte a été lancée par Paparazzi du Togo et confirmée par notre correspondant sur le terrain qui a approché les habitants. Dans le Kpendjal, plus précisément à Fobenga, les membres du village se retrouvent confrontés à une crise sanitaire alarmante : manque de structures médicales dans cette localité de plus de 3 000 habitants, dépourvue de piste rurale et de centre de santé.

Des femmes accouchent dans la rue, une tragédie ignorée

Selon les informations, l’hôpital le plus proche, l’USP de Naki-Est se trouve à plus de 12 km, laissant les femmes enceintes sans autre choix que d’accoucher chez elles, parfois à même le sol, lors de leur trajet vers l’établissement médical. Une situation mettant en péril la vie des nouveau-nés et de leurs mères. Les photos ci-dessous ont été prises le 15 novembre 2023 sur la route Fobenga – Naki Est, précise la source.

Une vidéo partagée sur les réseaux sociaux donne la parole à une femme âgée, témoignant de la tragédie qui frappe sa communauté. « Nous avons quitté depuis hier nuit. C’est ici en route que ça nous a surpris. Ce n’est pas notre faute. Ne nous accusez souvent pas. Dans ces conditions, on ne peut plus marcher ni s’envoler. Il faut toujours une moto pour aider. 

Fobenga (Naki-est) est un village maintenant grand. Nous avons besoin d’un centre de santé. Nous souffrons beaucoup trop, relate-t-elle en langue Moba. 

La vieille dame souligne l’insuffisance de l’infrastructure sanitaire de Naki pour accueillir toute la population de la zone, ; lançant ainsi un appel urgent à la mise en place d’un centre de santé à Fobenga qui, en constante croissance, continue de souffrir.

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Ce lundi, notre correspondant a rencontré la mère parturiente et assure que, elle et sa fille venue au monde le 15 novembre dans ces conditions se portent bien par la grâce divine.

La mère et sa fille
Le père du bébé

Le secteur serait également privé d’eau potable et d’électricité, c’est l’eau de pluie qu’ils utilisent. La population de ces villages se trouve livrée à elle-même, confrontée à des conditions de vie déplorables. Face à cette situation critique, les autorités sont interpellées d’agir en urgence et sauver des vies dans cette localité en détresse.

Fobenga
Gbossimé : un récit troublant de vol de pé.nis secoue le quartier

Gbossimé : un récit troublant de vol de pé.nis secoue le quartier

Une affaire de vol de l’organe génital d’un jeune homme secoue le quartier de Gbossimé à Lomé depuis le 13 novembre. Sur la toile, des vidéos de la scène surprenante circulent, laissant les internautes perplexes.

Dans le quartier de Gbossimé, lundi dernier, un jeune homme aurait mystérieusement perdu son organe génital dans des circonstances inexpliquées. La scène, à la fois surréaliste et surprenante, a attiré de nombreux riverains, tous témoins de cet événement hors du commun.

D’après les recoupements, la victime de cet acte macabre serait victime d’un sort. Cependant, de nombreuses personnes n’y croient pas et accordent le bénéfice du doute à cette histoire, intriguées par les circonstances qui l’entourent.

Nous ignorons comment cela s’est produit, mais dans la vidéo qui circule sur TikTok, on peut entendre les riverains évoquer la disparition mystérieuse du bijou de famille du jeune homme. La présence de la police disperse l’attroupement autour de la présumée victime du sort mystique dans le quartier.

Pour l’heure, aucune information officielle émanant des autorités compétentes n’a été communiquée pour éclaircir cette affaire déconcertante. La population reste suspendue à cette histoire hors du commun, partageant vidéos et commentaires sur les réseaux sociaux. En l’absence de déclarations officielles, le mystère persiste, alimentant les spéculations et la curiosité.

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Rappelons que nous sommes vers la fin de l’année ; nous entendons des faits malheureux du genre durant cette période. Même si vous n’y croyez pas, soyez prudents.

Faux avis de recrutement : l'OTR met en garde contre les annonces frauduleuses

Faux avis de recrutement : l’OTR met en garde contre les annonces frauduleuses

L’Office Togolais des Recettes (OTR) attire l’attention du public sur de prétendus avis de recrutement circulant sur les réseaux sociaux, notamment pour des postes d’« Agents de surveillance du territoire douanier ». L’institution étatique déclare formellement que ces annonces ne proviennent pas de ses canaux officiels.

D’apres un communiqué rendu public, le Commissaire Général B. Tchodie souligne que l’OTR n’utilise ni les réseaux sociaux ni les applications de messagerie instantanée pour le recrutement de son personnel. Tout recrutement officiel est annoncé exclusivement sur le site web officiel de l’OTR (www.otr.tg) et par le biais des médias traditionnels.

Ainsi, l’OTR exhorte le public à la vigilance et à éviter de partager de telles informations douteuses. Toute communication officielle de l’OTR est transparente, vérifiable et conforme aux normes légales en vigueur au Togo.

Dans le but de préserver l’intégrité de ses processus de recrutement, l’OTR prendra des mesures pour identifier et poursuivre en justice les responsables de ces annonces frauduleuses. Pour des informations fiables et des clarifications, veuillez contacter directement l’OTR au 22 53 14 00 ou au 93 62 91 39.

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