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le tarif du test PCR à l’Aéroport International de Lomé n’est plus à 40 000 F CFA

Togo / Covid-19 : baisse significative du tarif du test PCR à l’Aéroport International de Lomé

« Venez au Togo en toute sérénité », peut-on lire sur le site officiel de l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema (AIGE). Néanmoins ces arrivées sont soumises à des test PCR COVID-19 obligatoire. Mesures de sécurité sanitaire oblige.

Mais ces tests de dépistage au Coronavirus ne sont pas pour autant gratuits. Le test PCR COVID-19 est facturés par les autorités aéroportuaires. Il a subi une réduction et passe de 40.000 F CFA à 25000 F CFA.

Selon les informations retrouvées sur le site l’AIGE, les voyageurs à destination de Lomé doivent impérativement se soumettre à leur arrivée au test PCR COVID-19 qui s’élève à 25000 FCFA.

Les voyageurs en partance de Lomé ne sont pas épargnés par le test PCR COVID-19. Ils doivent eux aussi se soumettre avant leur départ au test PCR COVID-19 qui coûte également 25000 FCFA.

Notons que le Togo a été distingué par des nations pour sa bonne gestion de la pandémie. Il s’agit entre autre du Royaume-Unis et les Etats-Unis. A lire également : Covid-19 : après la liste jaune de la Grande Bretagne, le Togo de nouveau honoré par les États-Unis

Togo : démarrage d’une nouvelle démarche de renouvellement de certificat à l’Aéroport de Lomé

Togo : démarrage d’une séance de renouvellement de certificat d’aérodrome à l’Aéroport de Lomé

L’Aéroport de Lomé s’est à nouveau lancé dans les démarches de renouvellement de son certificat d’aérodrome suspendues en 2019 en raison de la pandémie de la covid-19. Les responsables de la Société Aéroportuaire de Lomé Tokoin (SALT) sont de nouveau en séance de travail avec des experts venus du Sénégal, du Niger et du Togo depuis ce mercredi 31 mars.

Avec des responsables de l’institution chargée de la gestion des infrastructures de l’Aéroport International de Lomé, les travaux vont consister à examiner les installations de l’aérodrome. Ceci afin de garantir la fiabilité de ses services et confirmer la sûreté et la sécurité de l’espace aérien du pays.

Pour précision, selon l’AIGE « la phase 3/5 du processus évalue les équipements, installations et procédures opérationnelles conformément aux exigences de certification applicables ».

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Concrètement, l’ensemble des travaux se déroulera en 5 principales étapes notamment l’expression de l’intérêt du postulant, la demande formelle comprenant l’évaluation des installations et de l’équipement de l’aérodrome, la délivrance ou le refus du certificat d’aérodrome, la publication du statut de l’aérodrome certifié et des précisions requises.

« L’accent sera mis sur l’efficacité avec laquelle le postulant gère son exploitation ». Et « les manquements éventuels seront portés par écrit à l’attention du postulant à charge, pour permettre de prendre des mesures correctives nécessaires avant de décrocher le certificat », ont indiqué les experts. A cet effet, « les mesures appropriées devront être apportées avant que le certificat ne soit délivré », ont–ils ajouté.