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Togocom / T-money : mauvaise transaction, voici comment annuler votre opération

Togocom / TMoney : mauvaise transaction, voici comment annuler votre opération

L’opérateur de téléphonie mobile, Togocom vient de simplifier les démarches suite à une mauvaise transaction via TMoney. Une démarche salutaire qui vient réduire les tracasseries afin de soulager les abonnées.

En effet, l’opérateur a mis en place depuis mardi le 18 mai 2021, un code qui permettra désormais d’annuler des transactions ratées en ce qui concerne les services d’envoi et de retrait d’argent via TMoney.

Pour annuler une transaction erronée, il suffira de composer *145*8*4#, appuyer sur la touche entrée, taper le code secret puis la référence de la transaction. Après cela, il est indispensable de sélectionner l’option 1 et confirmer la demande.

Togocom ajoute que l’opération d’annulation ne concerne que les transactions monétaires supérieures ou égales à 20. 000 francs CFA et doivent surtout être effectuées dans un délai de 06 heures après l’erreur. Seulement deux (02) tentatives d’annulation sont autorisées au cours d’une journée, précise l’opérateur de téléphonie mobile.  

TMoney est un service de Togocom qui vous permet de réaliser des opérations financières à partir d’un compte électronique associé à votre numéro de téléphone. C’est un service simplerapide et sécurisé.

L’activation du service TMoney se fait gratuitement pour tous les abonnés Togocom. Il suffit de faire *145# et suivre les instructions.

Togo : manquement à l'obligation de permanence, Moov Africa convoqué devant l’ARCEP

Togo : manquement à l’obligation de permanence, Moov Africa convoqué devant l’ARCEP

L’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) poursuit son rôle de gendarme et de régulation dans le secteur des télécoms au Togo.

 Dans cette optique, l’autorité de régulation a convoqué ce mardi 18 mai 2021, Moov Africa Togo pour une audience publique. Cette convocation fait suite au « manquement à l’obligation de permanence, continuité et disponibilité de ses services, conformément à son cahier de charges ».

Pour ce faire, l’autorité de régulation a lancé, suite à ces manquements, une procédure de sanction vis-à-vis de Moov Africa Togo, le 9 novembre, pour violation de son cahier des charges.

A titre punitive, l’ARCEP laisse entendre qu’entre le mois de juin et celui de septembre, l’opérateur Moov Africa Togo répondra aux interruptions de ses services dans plusieurs localités du pays.

Togo: le gouvernement crée CERT.tg pour lutter contre les cyberattaques

Togo: le gouvernement crée un organe pour lutter contre les cyberattaques

Le Togo se dote du CERT.tg, un organe de protection du cyberespace togolais. Une information donnée ce mercredi 3 février sur les réseaux sociaux par Cina Lawson, Ministre de l’Économie numérique et de la Transformation Digitale.

Avec pour dénomination sociale Computer Emergency Response Team (CERT.tg), l’institution découle de la collaboration entre l’expert européen de la cybersécurité, Asseco Group et le gouvernement togolais.

 Ce Centre national de réponse aux incidents de cybersécurité au Togo, a pour mission « d’identifier, analyser et mitiger les cyberattaques affectant l’État, les citoyens, les entreprises et organisations togolaises ».

Elle se veut par ailleurs offrir des formations notamment en cybersécurité, investigation numérique et sur les crypto-monnaies.

« Pour profiter sereinement de la digitalisation des services et de l’administration, les Togolais ont besoin d’avoir confiance dans la sécurité du cyberespace. Le CERT-TG renforce cette confiance, en protégeant tous les acteurs du numérique et en participant à la formation d’experts locaux en cybersécurité. Le lancement d’un CERT répond aux meilleurs standards internationaux et prouve notre capacité à réaliser nos ambitions. », a indiqué Cina LAWSON.

Le CERT.tg sera piloté par Cyber Defense Africa (CDA), une Joint-Venture créée par les deux entités partenaires, et sous l’égide de l’Agence nationale de la cybersécurité.

Technologie : WhatsApp bientôt accessible sur PC sans smartphone connecté

Technologie : WhatsApp bientôt accessible sur PC sans smartphone connecté

Au dernière information, l’application WhatsApp serait en train de tester des améliorations pour se connecter plus facilement à plusieurs appareils.

WhatsApp va probablement améliorer la connexion multi-appareils.

Selon des indices trouvés par WABetaInfo dans la dernière version bêta, WhatsApp travaillerait sur une fonctionnalité qui permettrait d’utiliser son compte sur plusieurs appareils simultanément, sans avoir besoin de se connecter à son smartphone.

En effet, contrairement à d’autres applications de messagerie, WhatsApp ne permet pas encore une « réelle » prise en charge multi-appareils, c’est-à-dire que les utilisateurs doivent encore avoir leur smartphone connecté afin de pouvoir utiliser WhatsApp Web. Si WhatsApp déploie cette prise en charge multi-appareils améliorée, elle sera certainement très appréciée par ses utilisateurs sur mobile, qui souhaiteraient pouvoir accéder plus facilement à WhatsApp sur plusieurs appareils en même temps.

La possibilité d’utiliser jusqu’à 4 appareils simultanément

WhatsApp pourrait proposer prochainement une version bêta publique pour WhatsApp Web dans le but de permettre aux utilisateurs de tester WhatsApp sur PC sans smartphone connecté. Aucune date de sortie n’a pour le moment été annoncée.

Sur une capture d’écran de WABetaInfo de cette version bêta, il est indiqué qu’il serait possible d’utiliser jusqu’à 4 appareils en même temps.

D’autres nouveautés sont aussi mentionnées par WhatsApp à savoir une option pour archiver ou muter des discussions sur un appareil connecté, une option pour supprimer des messages et des discussions sur un appareil connecté, la possibilité d’effectuer un appel WhatsApp directement sur un desktop.

L’application de messagerie précise que ces nouveautés seront « bientôt » disponibles sans donner plus de détails.

Lire aussi: Technologie : WhatsApp donne à tous ses utilisateurs un ultimatum

USA / violence à Washington : voici la liste ꞌꞌcomplèteꞌꞌ des réseaux sociaux qui ont suspendu le compte de Donald Trump

Etats – Unis / violence à Washington : voici la liste ꞌꞌcomplèteꞌꞌ des réseaux sociaux qui ont suspendu le compte de Donald Trump

Suite aux violences qui ont eu lieu au Capitol à Washington, de nombreux réseaux sociaux et autres plateformes ont pris la décision de suspendre le compte de Donald Trump.

Suite à l’appel de Donald Trump sur les réseaux sociaux à rejoindre Washington pour contester l’élection présidentielle et la victoire de Joe Biden, de nombreux partisans du président sortant sont venus manifester par des actes violents, allant jusqu’à envahir le Capitole. Suite à cette violence sans précédent, Facebook et Twitter ont été parmi les premiers à bloquer le compte de Donald Trump, et d’autres plateformes ont suivi le pas.

Le 7 janvier, Facebook a annoncé dans un tweet le blocage du compte de Donald Trump pendant 24 heures, expliquant que cela signifiait que le président sortant des États-Unis n’aurait plus la possibilité de poster des informations via son compte. Puis le même jour, Mark Zuckerberg s’est exprimé dans un post Facebook, en indiquant que finalement le compte de Donald Trump serait bloqué pendant au moins 13 jours, voire plus. Cela implique son compte Facebook, mais aussi son compte Instagram (le réseau faisant partie du groupe Facebook).

Le 7 janvier également, Twitter annonce bannir le compte officiel de Donald Trump pendant au moins 12 heures pour violation de son règlement concernant la politique d’intégrité civique, pour empêcher toute personne « de manipuler ou d’interférer dans des élections ou d’autres processus civiques ». Puis le 9 janvier, Twitter a finalement annoncé suspendre définitivement le compte, en raison du risque de nouvelle incitation à la violence.

Après Facebook et Twitter, au tour de Snapchat de bloquer le compte du président sortant. La décision a été prise le mercredi 6 janvier. Selon TechCrunch, Snapchat surveille la situation de très près avant d’envisager la possibilité de réactiver le compte. Aucun délai de blocage n’a été indiqué officiellement par le réseau social. En juin, Snapchat avait déjà pris des mesures sur ce sujet, en cessant de promouvoir le compte de Donald Trump dans sa section « Discover ».

Les plateformes suivantes ont également suivi le pas pour lutter contre l’incitation à la violence et les fake news autour de l’élection présidentielle américaine :

Twitch : désactivation du compte utilisé par Donald Trump ; Discord : bannissement du serveur « The Donald » connecté au réseau social des partisans de Trump TheDonald ; Win, Shopify : fermeture de la boutique en ligne « TrumpStore » ; Stripe : suspension des traitements pour les paiements de la campagne Trump ; Reddit : blocage d’un forum dédié à Donald Trump.

De son côté, TikTok n’a pas de compte à bannir puisque Donald Trump boycotte depuis des mois l’application chinoise, souhaitant même son bannissement total sur le sol américain. TikTok a malgré tout pris des mesures, en supprimant toutes vidéos au nom du président Trump qui pourraient inciter à la violence. Les vidéos avec les mots-clés #patriotparty et #stormthecapital ont été notamment supprimées.

Donald Trump n’a pas de compte Pinterest, mais la plateforme a malgré tout limité la diffusion des hashtags reliés directement aux sujets pro-Trump comme #StopTheSteal qui insinuaient que les résultats de l’élection présidentielle américaine étaient truqués.

YouTube, appartenant à Google, a annoncé également sa lutte contre la désinformation, en expliquant que toute chaîne publiant des vidéos avec des fausses allégations concernant les élections américaines, violant les règles d’utilisation de la plateforme, recevrait un avertissement. Ces chaînes ne pourront plus poster temporairement ou réaliser des live streaming. Si des chaînes reçoivent 3 avertissements sur une période de 90 jours, elles pourraient être supprimées définitivement de la plateforme.

Autre actualité : Google et Apple ont pris la décision de bannir « Parler de leurs stores », ce réseau social prônant la liberté d’expression, similaire à Twitter, mais avec un manque de modération, qui incite les partisans Trump à y poster des contenus extrémistes ou complotistes. C’est pourquoi Google a décidé de supprimer l’application de son Play Store, suivi par Apple qui a fait de même sur l’App Store.

A lire: Etats-Unis / Violences à Washington : de Jimmy Carter à Barack Obama voici les principales réactions des anciens présidents sur l’attitude de Donald Trump

Technologie : WhatsApp donne à tous ses utilisateurs un ultimatum

Technologie : WhatsApp donne à tous ses utilisateurs un ultimatum

WhatsApp, l’application de messagerie appartenant à Facebook, lance un ultimatum à ses 2 milliards d’utilisateurs et plus : accepter de partager leurs données personnelles avec le réseau social ou supprimer leurs comptes.

L’exigence est fournie par le biais d’une alerte dans l’application demandant aux utilisateurs d’accepter des modifications radicales des conditions de service de WhatsApp. Ceux qui n’accepteront pas la politique de confidentialité remaniée, d’ici le 8 février ne pourront plus utiliser l’application.

Peu de temps après que Facebook ait acquis WhatsApp pour 19 milliards de dollars en 2014, ses développeurs ont intégré un cryptage de bout en bout à la pointe de la technologie dans l’application de messagerie. Cette décision a été considérée comme une victoire pour les défenseurs de la protection de la vie privée, car elle utilisait le protocole Signal, un système de cryptage open source dont le code source a été examiné et audité par de nombreux experts en sécurité.

Lire aussi: WhatsApp : l’application de messagerie n’est plus la plus populaire au monde

Rappelons que c’était en 2016 que Whatsapp avait donné aux utilisateurs la possibilité unique de refuser que leurs données de compte soient transmises à Facebook. Sauf qu’en date, la politique de confidentialité mise à jour entend changer cela. En effet le mois prochain, les utilisateurs n’auront plus ce choix. Cela inclut que seul l’acceptation des nouvelles conditions offrira désormais la possibilité d’accéder à la messagerie WhatsApp.

Essentiellement, ces données collectées par WhatsApp comprendront : 

  • Numéros de téléphone des utilisateurs
  • Numéros de téléphone d’autres personnes stockés dans les carnets d’adresses
  • Noms de profil
  • Photos de profil et Message d’état indiquant la date de la dernière connexion d’un utilisateur
  • Données de diagnostic collectées à partir des journaux d’application

Selon les nouvelles conditions, Facebook se réserve le droit de partager les données collectées avec sa famille d’entreprises.

« En tant que membre de la famille d’entreprises Facebook, WhatsApp reçoit des informations de cette famille d’entreprises et les partage avec elle », indique la nouvelle politique de confidentialité. « Nous pouvons utiliser les informations que nous recevons d’eux, et ils peuvent utiliser les informations que nous partageons avec eux, pour aider à exploiter, fournir, améliorer, comprendre, personnaliser, soutenir et commercialiser nos services et leurs offres. »

Dans certains cas, comme lorsqu’on utilise WhatsApp pour interagir avec des entreprises tierces, Facebook peut également partager des informations avec ces entités extérieures.

Un manque de transparence

Cette décision intervient un mois après qu’Apple ait commencé à demander aux fabricants d’applications iOS, y compris WhatsApp, de détailler les informations qu’ils collectent auprès des utilisateurs. WhatsApp, selon l’App Store, se réserve le droit de collecter : Achats, l’information financière, emplacement, contacts, contenu utilisateur, Identifiants, données d’utilisation et diagnostique

Une porte-parole de WhatsApp a refusé de parler officiellement des changements et de la possibilité pour les utilisateurs de les refuser. En revanche, elle a accepté d’envoyer par courrier électronique des informations supplémentaires à condition qu’elles soient conservées en arrière-plan, ce qui signifie qu’aucun des détails ne peut être cité textuellement.

Cette décision, a déclaré la porte-parole, fait partie d’une décision précédemment divulguée visant à permettre aux entreprises de stocker et de gérer les discussions WhatsApp à l’aide de l’infrastructure de Facebook. Les utilisateurs n’auront pas à utiliser WhatsApp pour interagir avec les entreprises et auront la possibilité de bloquer les entreprises. Elle a déclaré qu’il n’y aurait aucun changement dans la façon dont les partages WhatsApp fournissent des données avec Facebook pour les discussions non-professionnelles et les données de compte.

Tout bien considéré, la politique de confidentialité et les conditions de service de WhatsApp comptent plus de 8 000 mots et sont remplis d’un jargon juridique qui le rend difficile à comprendre pour les non-avocats. WhatsApp rend un mauvais service à ses utilisateurs en n’acceptant pas de parler officiellement afin que les journalistes puissent pleinement comprendre les changements et les expliquer aux lecteurs.

Togo / Casier judiciaire : voici le site à utiliser

Togo / digitalisation du casier judiciaire : voici le site à utiliser

Soucieux des difficultés rencontrées par la population pour se faire délivrer un bulletin de casier judiciaire, le gouvernement a annoncé le 09 décembre dernier, la dématérialisation totale du processus.

Cette démarche, qui nécessitait de se déplacer dans sa préfecture de naissance, se digitalise avec la création d’un fichier des condamnations et l’interconnexion entre les tribunaux. Désormais, avec cette nouvelle approche, tout requérant pourra rien qu’en se connectant via un smartphone ou un ordinateur, soumettre en ligne, la demande, le paiement et le traitement des casiers judiciaires.

D’aspect plus spécifique selon le gouvernement, ce projet débutera en avril 2021. Et comme on pourrait s’y attendre, l’on pourra soumettre en ligne sur la plateforme http://www.casierjudiciaire.tg ; sa requête de traitement et de paiement dans toutes les juridictions du pays.

Pour mémoire, rappelons que cette nouvelle donne du gouvernement s’inscrit dans le programme de modernisation du secteur judiciaire, entamé depuis 2005 et qui a abouti à la mise en exploitation effective de la chaîne commerciale au tribunal de première instance (TPI) de Lomé.

Etats- Unis / Violence au Capitole : Twitter et Facebook bloquent les comptes de Donald Trump

Etats-Unis / Violence au Capitole : Twitter et Facebook bloquent les comptes de Donald Trump

Les comptes Twitter et Facebook de Donald Trump ont été temporairement bloqués par lesdites plateformes, ce mercredi 06 janvier 2021. Considérant que l’invasion du Capitole et les violences qui ont émaillé cette manifestation Pro-Trump sont imputables à ce dernier, la réaction de ces deux plateformes sociales ne s’est pas faite attendre.

En effet, Donald Trump avait prévenu qu’il tenterait d’empêcher le Congrès de certifier officiellement mercredi la victoire de Joe Biden. En raison de son refus d’accepter les résultats donnant le démocrate victorieux, certains de ses partisans ont envahi le Congrès pillant tout sur leur passage.

N’ayant que faire des messages de Trump appelant à la manifestation, Twitter a retiré trois tweets du président, dont une vidéo où il parlait à ses manifestants, déclarant que l’élection leur avait été « volée ». Conséquence, pendant douze heures, le compte aux 88 millions d’abonnés restera bloqué.

Dans la foulée, Facebook également n’a pas été du reste. Suspendant le compte du Chef d’Etat pour 24 heures, cette plateforme a également retiré une vidéo virale du président qui comme d’ordinaire attisait la violence, a expliqué mercredi, un des vice-présidents de Facebook, chargé de l’intégrité.

Technologie : Jack Ma dans le viseur du gouvernement chinois

Technologie : Jack Ma dans le viseur du gouvernement chinois

Le fondateur d’Alibaba n’a pas fait d’apparition publique depuis son discours du 24 octobre dans lequel il critiquait ouvertement Pékin.

Voilà plus de deux mois que le milliardaire chinois Jack Ma n’a pas fait d’apparition publique. Le fondateur d’Alibaba et d’Ant Group ne s’est plus montré depuis son fameux discours du 24 octobre 2020 dans lequel il critiquait ouvertement le système de régulation chinois, l’accusant d’étouffer l’innovation et le comparant à « un club de vieux ».

Le discours de trop ?

Le fondateur d’Alibaba devait normalement faire une apparition à la télévision, dans son émission intitulée Africa’s Business Heroes. Un contenu qui donne la parole aux jeunes entrepreneurs africains et qui leur offre la possibilité de participer à un concours pour gagner 1,5 million de dollars américains. Jack Ma était censé faire partie du jury en novembre, mais il a été remplacé au dernier moment par un cadre haut placé d’Alibaba. Plus étrange, sa photo a été retirée du web sur certains moteurs de recherche chinois.

Depuis ce fameux discours du 24 octobre dans lequel Jack Ma affirmait que : « le système financier actuel est l’héritage de l’ère industrielle », le milliardaire chinois et son empire sont dans le viseur de Pékin. Alibaba fait notamment l’objet d’une enquête antitrust. Selon le gouvernement chinois, l’entreprise de Jack Ma aurait imposé des restrictions illogiques à des vendeurs ou des utilisateurs de sa place de marché.

Jack Ma est dans le viseur du gouvernement chinois

Contrairement aux États-Unis, la Chine a été très rapide dans les différentes procédures antitrust. En effet, tout est parti d’un vaste rapport antitrust sur les géants de la numérique chinoise mi-novembre. Il s’agit là de la toute première tentative du gouvernement chinois pour définir des pratiques anticoncurrentielles.

Alibaba est de loin l’entreprise la plus accablée par toute cette affaire. L’entreprise a totalement chuté en bourse en quelques semaines. Il y a à peine deux mois, la valorisation d’Alibaba atteignait les 859 milliards de dollars. Aujourd’hui, l’entreprise ne pèse « plus » que 586 milliards de dollars. Il est clair que la Chine pousse Ant Group à remodeler ses activités. Pékin ne fait pas dans la dentelle et impose très clairement à l’empire de Jack Ma, une réduction drastique de ses activités.

Jack Ma estime que le système actuel devrait être réformé. Cela n’est vraisemblablement pas du goût du gouvernement chinois. L’homme avait également fait don de millions de masques à l’Europe, aux États-Unis et à l’Organisation mondiale de la santé pour tenter d’endiguer la pandémie. Le tout sans consulter le gouvernement évidemment… Alors que son dernier tweet date du 10 octobre 2020, personne ne sait où se trouve Jack Ma et cela commence sérieusement à devenir inquiétant.

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la société privée d’Elon Musk Space X envoie une capsule dans l’espace pour la première fois

NASA : la société privée d’Elon Musk Space X envoie une capsule dans l’espace pour la première fois

La firme SpaceX du patron de TESLA Elon Musk a réussi un gros coup en envoyant une capsule privée dans l’Escape. Elle s’est donc arrimée dans la nuit de lundi à mardi à la Station spatiale internationale (ISS).

Après 9 ans de dépendance envers la Russie, les États-Unis ont donc retrouvé leur autonomie en termes de voyage spatiale.

Une opération réussie

La première phase de l’amarrage à l’ISS s’est achevée mardi à 04h01 GMT, selon des images diffusées en direct par la NASA. La deuxième phase, ou « hard capture », s’est produite quelques minutes plus tard. Cette capsule, baptisée « Resilience », a été lancée par une fusée Falcon 9 de la société privée SpaceX, le nouveau moyen de transport spatial de la NASA.  « Bienvenue à l’ISS. Nous sommes impatients de vous avoir à bord », a déclaré l’astronaute américaine Kate Rubins pour accueillir la capsule.

La fusée a décollé lundi soir du centre spatial Kennedy, en Floride. À son bord, quatre astronautes, trois Américains et un Japonais : Michael Hopkins, Victor Glover, Shannon Walker et Soichi Noguchi. « C’était un sacré lancement », a commenté le commandant Michael Hopkins une fois en orbite. Jim Bridenstine, le chef de la NASA a pour sa part salué un « grand jour pour les États-Unis d’Amérique et pour le Japon », lors d’une conférence de presse.

La lune en ligne de mire dès 2024

Les astronautes, qui rejoignent ainsi deux Russes et une Américaine déjà dans la station, resteront six mois dans ce laboratoire orbital, filant autour de la Terre à 400 km au-dessus des océans. SpaceX, société du milliardaire Elon Musk devient ainsi la première société privée à accomplir cette prouesse technologique.

SpaceX doit lancer encore deux autres vols habités pour la NASA en 2021. L’un se fera au printemps avec le Français Thomas Pesquet, ainsi que quatre missions de ravitaillement cargo d’ici le premier trimestre 2022. Une mission purement privée est également prévue fin 2021. De plus, la NASA et Elon Musk ont laissé entendre que Tom Cruise pourrait se rendre à la Station spatiale internationale pour tourner un film, information qui n’a pas encore été confirmée.

Après avoir certifié le successeur des navettes, mises à la retraite en 2011, la NASA se projette désormais la Lune. L’Agence gouvernementale a signé des partenariats avec notamment le Japon et l’Europe pour son programme Artemis. Ce dernier prévoit un retour sur la Lune en 2024. Toutefois, la NASA n’a pas encore reçu les dizaines de milliards de dollars de la part du Congrès américain, nécessaires pour finaliser le projet. De plus, le candidat élu Joe Biden n’a pas repris à son compte l’objectif de 2024.

Réaction de personnalités américaines

Satisfait de la réussite de ce programme, Donald Trump n’a pas manqué de se féliciter de ce fait.«La Nasa était un désastre fini quand nous avons pris les choses en main. Aujourdhui, cest le centre spatial le plus couru et le plus avancé du monde, de loin!» a tweeté le N°1 américain, s’appropriant le succès d’un programme lancé sous ses deux prédécesseurs.

Le président élu démocrate Joe Biden a aussi salué cette avancée dans un tweet. « C’est la preuve du pouvoir de la science et de ce que nous pouvons accomplir en combinant innovation, inventivité et détermination », a-t-il déclaré.

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