En l’espace d’une semaine, le Togo a perdu deux de ses maires. Le dimanche 14 juillet, James Amaglo, maire de la commune de Golfe 2 (Lomé), est décédé suite à un malaise.
Cet opposant avait soutenu la politique de centralisation du gouvernement et la création de municipalités. Il était également vice-président des Forces Démocratiques pour la République (FDR).
Deux jours plus tard, le mardi 16 juillet, Boukari Moali, maire de la commune de Kpendjal Ouest 1, dans la région des Savanes, est décédé accidentellement. 
Selon la presse locale, l’accident s’est produit sur la RN1, au niveau du « pont noir » dans la préfecture de Tandjoaré, alors qu’il revenait d’une mission à Sokodé. Son chauffeur, son escorte et ses deux jumelles, tous blessés, sont actuellement pris en charge au CHR de Dapaong. 
Boukari Moali, partisan du parti au pouvoir UNIR, avait été directeur d’école avant d’être élu maire de Naki-Est lors des dernières élections municipales.
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Toute notre Rédaction présente ses condoléances aux familles éplorées.
